Depuis le lancement du chantier de la première ligne à grande vitesse (LGV) marocaine en 2007, par le roi Mohammed VI et l’ex-président français Nicolas Sarkozy, “une question s’est longtemps posée” : “Est-ce qu’un pays à revenu intermédiaire peut se permettre une ligne à grande vitesse ? Aujourd’hui, la réponse est oui”, a tranché le directeur…