En effet, les résidus de l’activité de transformation, en l’occurrence les eaux saumâtres, une fois rejetées dans la mer, perturbent localement la faune, la flore et plus généralement, l’écosystème qui la peuple. Une contrainte à laquelle le Maroc doit faire face, comme le souligne Tarik Hamane, directeur général de l’ONEE, interrogé par…