Errements juridiques” et “erreurs de fait suspectes”. Ce sont les mots du ministère des Affaires étrangères à l’encontre de la décision rendue par la CJUE vendredi dernier. Celle-ci confirme la décision du tribunal de première instance européen d’annuler deux accords commerciaux passés entre l’Union européenne (UE) et le Maroc en matière de pêche et d’agriculture, au motif que ceux-ci…