Le candidat réformateur Massoud Pezeshkian a remporté le second tour de la présidentielle en Iran le 6 juillet dernier, devant l’ultraconservateur Saïd Jalili, déterminé à sortir le pays de son isolement en relançant notamment le processus de négociation de l’accord sur le nucléaire iranien. Cette élection surprise peut-elle être porteuse d’espoir pour la société iranienne et les partenaires internationaux de Téhéran ? Décryptage avec David Rigoulet-Roze, docteur en Sciences politiques, chercheur associé à l’IRIS et rédacteur en chef de la revue “Orients stratégiques”.

Par Leila Chik