De victimes à coupables : l’imbroglio juridique dans les affaires de violences sexuelles

Une affaire de viol sur mineur à Ouarzazate soulève de nombreuses questions. Bien que l’agresseur ait été condamné à 8 ans de prison ferme, la victime a elle aussi été poursuivie et condamnée à six mois de prison pour “homosexualité”. Une décision de justice qui interpelle, et que décrypte pour TelQuel Stéphanie Willman Bordat, avocate et co-fondatrice de l’ONG MRA (Mobilising for Rights Associates).

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“Une victime de viol doit ramener des preuves de blessures physiques”, dénonce Stephanie Willmann. Le consentement et la coercition ne sont pas pris en compte. Crédit: DR

TelQuel : Une affaire de viol sur mineur à Ouarzazate suscite des interrogations, la victime étant elle aussi poursuivie pour homosexualité en vertu de l’article 489 du Code…

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