#MeTooUniv. Sexe contre bonnes notes : un an plus tard, les victimes toujours aussi vulnérables

Un an après la déflagration #MeTooUniv qui dénonçait le harcèlement et les agressions sexuelles commis par des professeurs à l’encontre d’étudiantes, ces dernières estiment ne pas être suffisamment protégées par la justice.

Par

Malgré la libération de la parole qui a suivi #MeTooUniv, les victimes ne se sentent pas suffisamment protégées. Crédit: TOUMI/TELQUEL

Sexe contre bonnes notes”, “fellation contre validation”… à Tétouan, Tanger, Settat, Oujda ou encore Meknès, de nombreuses affaires de harcèlement et d’agressions sexuelles secouaient le monde universitaire et l’opinion publique en décembre 2021. Pour la première fois, des témoignages de victimes déferlaient sur les réseaux sociaux, interpellant ainsi les autorités sur la gravité du phénomène. Le ministre…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter