Il est possible, en agissant maintenant, de préserver notre avenir”, commence le nouveau rapport du GIEC, fruit des conclusions du groupe de travail II intitulé Changement climatique 2022 : impacts, adaptation et vulnérabilité. L’entame, qui s’efforce d’entretenir l’optimisme, détonne avec le contenu définitivement alarmant du compte-rendu. L’urgence est totale, il faut “prendre des mesures immédiates et plus ambitieuses pour faire face aux risques climatiques. Les demi-mesures ne sont plus possibles”, insiste Hoesung Lee, président du groupe d’experts depuis 2015. Le rapport partagé lundi 28 février est destiné à être finalisé en avril 2022 avec un troisième volet de solutions concrètes. Cette deuxième partie se limite quant à elle à compléter la première (datant d’août 2021) en recensant les impacts du dérèglement climatique sur de nombreux paramètres, ainsi que notre capacité de résilience face au phénomène. https://twitter.com/pnudfr/status/1498630379523166212?s=20&t=Wnv4ZtykpAEXXLbwJKrZjg
L’Afrique, moins polluante et plus touchée
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