Les réactions s’enchaînent suite aux publications des organisations Forbidden Stories et Amnesty International, en partenariat avec dix-sept médias, sur la supposée utilisation du logiciel de surveillance Pegasus par une vingtaine d’États à travers le monde, dont le Maroc. Les articles publiés par le consortium ont également provoqué un lot de condamnations, d’enquêtes et de plaintes déposées devant les tribunaux. L’une des dernières en date est celle déposée au nom du Maroc par l’ambassadeur du Royaume à Paris, Chakib Benmoussa. Une plainte pour diffamation a ainsi été déposée devant le tribunal correctionnel de Paris. Toutefois, comme le signale l’AFP, l’avenir de cette procédure pourrait se heurter à une jurisprudence de la Cour de cassation qui a jugé en 2019…