Dans la famille Pinto, on demande le frère. Depuis son plus jeune âge, Menahem Pinto grandit dans l’ombre de son aîné, héritier des dons religieux de son père et que beaucoup considèrent comme le “Grand Rabbin des Pinto” dont il semble être le parfait opposé.
Alors que le rabbin est long et fin, Menahem Pinto est petit et corpulent. Si le rabbin se distingue par une voix fine comparable à un souffle, son cadet de six ans sait, lui, se faire entendre, n’hésitant pas à converser à la fois en darija, en anglais et en hébreu. Pour ce quadragénaire, Yoshiyahu Yosef Pinto est plus…
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