Vingt-neuf personnes sont décédées suite à une infiltration d’eau dans une usine à Tanger, le 8 février, après des pluies torrentielles. Un drame qui pousse les syndicats à dénoncer, une fois de plus, les conditions de travail dans l’informel autant que l’absence de suivi du ministère de tutelle.
Lundi 8 février, les députés observaient une minute de silence à la mémoire des “martyrs de l’économie informelle”, après la mort de 29 personnes le même jour, causée par l’inondation d’un atelier clandestin de textile à Tanger. Une tragédie de plus…
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