Il se tient debout dans le hall du Sofitel de Rabat, ponctuel au rendez-vous qu’il nous a fixé à huit heures du matin. “Ce n’était pas trop tôt pour vous ?”, demande-t-il. Si un peu, mais quand on est le demandeur, on tient compte du planning surchargé d’un avocat n’ayant pas de temps à perdre. Il est sur les routes françaises,…
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