Assise à la terrasse d’un café de Casablanca, Oumaïma Abba commande une verveine. En voyant le sachet d’infusion industrielle présenté par le serveur, elle grimace. “J’aurais préféré une louiza naturelle avec des feuilles infusées”, nous glisse-t-elle. “Là, c’est un déchet de plus dont on aurait pu se passer.”
“Le meilleur déchet…