Paradis d’exil
Cinéma. Dix ans après son dernier film, Le Temps qu’il reste, le réalisateur palestinien Elia Suleiman, âgé de cinquante-huit ans, met beaucoup de lui dans son quatrième long-métrage, It must be Heaven. Comme lui, le héros de l’histoire, cinéaste, est contraint de fuir la Palestine, et cherche, coûte que coûte, des financements pour réaliser son film. https://www.youtube.com/watch?v=RYSKzDiUGdk De situations cocasses en rencontres étonnantes, les traces de son pays d’origine ne sont jamais bien loin. Dans les rues de Nazareth, à New York et à Paris, trois villes qui…