Inégalité dans l'héritage, un archaïsme à la peau dure

Qu’elles soient épouses, mères ou filles, les femmes sont dans la majorité des cas lésées lors d’une succession. Cette inégalité que l’on justifie par l’islam est à l’origine de drames familiaux.

Par et

YASSINE TOUMI/TELQUEL

Ce dossier a initialement été publié le 29 novembre 2019. Au Maroc, malgré les évolutions sociétales, l’héritage, tel que régi par la Moudawana réformée en 2004, reste inspiré du rite malékite. Les premiers versets de la sourate Annissae demeurent le référentiel du droit successoral marocain. Dans le cas précis (et le plus récurrent) où le père décède, laissant des…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter