(Ce contenu est une communication d’entreprise. il n’a pas été rédigé par les journalistes de TelQuel)
Cet événement, qui fait partie d’une série de réunions organisées avec Harvard Business Review, est essentiellement destiné aux directeurs financiers. Il leur permet d’apporter un œil analytique quant à la situation du secteur financier au Maroc, tout en expliquant de quelle manière les directeurs financiers et les chefs des opérations font désormais partie intégrante des processus de prise de décision.
C’est en tentant d’expliquer cet état de fait que Hicham Iraqi Houssaini, directeur général de Microsoft Maroc, a déclaré que l’arrivée de l’ère numérique permettait aux professionnels de la finance d’accéder à des ressources inestimables qui étaient auparavant indisponibles. Cela ne manque pas de créer de nouvelles opportunités avec des possibilités infinies et un impact profond sur l’activité. “L’accès à de telles ressources servira à générer les performances et les décisions en les rendant rationalisées et optimisées, en particulier dans un secteur où les informations clés permettent d’améliorer l’expérience client.”
A l’heure où les méthodes traditionnelles, qui impliquent la réduction des coûts, mais aussi la recherche de nouvelles sources de revenus, continuent toujours autant à représenter un pan majeur de l’activité du directeur financier et du directeur d’exploitation, l’exploration de nouvelles opportunités de croissance commence à devenir primordiale. Une telle perturbation a été rendue possible grâce à l’intégration de technologies de pointe telles que l’intelligence artificielle, la réalité mixte, ou encore la blockchain.
“Comme dans toutes les industries, le secteur financier est à son tour soumis à des mutations rapides et incessantes qui obligent souvent les professionnels et les institutions à être informés de toutes les décisions prises afin d’éviter tout type de problème dont l’incidence pourrait avoir un impact sur le rendement maximal. Il existe, au sein de l’industrie, des outils qui sont capables d’anticiper les complexités croissantes des entreprises. Les entreprises doivent être conscientes du fait qu’au fur et à mesure que leurs activités deviendront complexes, les anciens outils ‘classiques’, qui étaient initialement conçus pour résoudre des processus obsolètes, ne leur seront plus utiles. A leur tour, les processus financiers qui sont utilisés aujourd’hui peuvent être sujets à de multiples erreurs intervenant au sein de leur environnement organisationnel : de nombreux clients continuent toujours autant à utiliser des processus manuels susceptibles de laisser place à l’erreur. La rationalisation et l’automatisation des processus ouvrent la voie à de meilleurs processus de prise de décisions”, a déclaré Tarik Bouarfa, directeur financier de MCC pour le Moyen-Orient et l’Afrique chez Microsoft.
“En outre, et au fur et à mesure que l’industrie continuera à devenir de plus en plus agile, de nouveaux risques et menaces pour l’entreprise apparaîtront. C’est pourquoi il devient plus que jamais nécessaire de mettre en place davantage de réglementations destinées à aider les directeurs financiers à atténuer les problèmes”, poursuit Bouarfa.
Afin de réussir à rester compétitifs, et de parvenir à créer un environnement qui soit agile face au changement induit par la transformation numérique, les dirigeants financiers doivent amener leur entreprise à atteindre ses objectifs en matière de croissance, de rentabilité et de productivité, avec l’utilisation de technologies telles que l’intelligence artificielle et le cloud. Il est donc crucial de disposer d’une bonne culture de la maîtrise des contraintes afin de pouvoir faire face aux défis et de continuer à promouvoir la croissance au sein de la société.
Quatre domaines de transformation clés dans le secteur financier ont été identifiés pour les directeurs financiers.
“Le premier de ces domaines concerne l’analyse financière et le reporting : il invite les directeurs financiers à commencer tout d’abord à gérer leurs données, avant de penser à établir une veille stratégique avec un reporting dynamique. Le deuxième domaine est celui de la stratégie et de la prévision : il appelle à l’utilisation des capacités d’apprentissage automatique, en plus du cloud, et ce dans le but de réussir à obtenir des informations avancées et des prévisions prospectives. Le troisième domaine est intitulé ‘Business Process Automation’ : il permet à l’IA et aux BOTS d’entrer en jeu. Enfin, le quatrième domaine est lié à la gestion des risques et à la mise en conformité : il utilise la Business Intelligence, mais aussi l’Advanced Analytics et l’IA, pour résoudre des risques financiers de différentes sortes.”
“Microsoft est une entreprise pionnière qui travaille en permanence à essayer de trouver les meilleures solutions qui seraient applicables au sein de l’espace FSI. Nous nous concentrons sur la création du meilleur business cloud possible, et ce afin de permettre aux entreprises de se transformer de manière intelligente. Nous sommes ravis d’être engagés ensemble dans ce processus que représente la transformation numérique et nous nourrissons le désir que les discussions d’aujourd’hui puissent conduire à un changement futur encore plus rayonnant”, conclut Houssaini.
“Harvard Business Review Arabia soutient les gestionnaires d’entreprises tous secteurs confondus, en les initiant aux meilleures pratiques qui soient, mais aussi aux stratégies et aux recherches les plus récentes. Nous sommes heureux de travailler main à main avec le leader technologique Microsoft qui nous offre désormais plusieurs opportunités. La question pointue de la transformation numérique au sein des services financiers a été, quant à elle, débattue avec un groupe chevronné de praticiens du secteur”, a déclaré Ammar Kadi, directeur exécutif de Harvard Business Review Arabia. “Nos réunions exécutives nous ont permis de mettre en place la plateforme HBR Arabia, qui complète notre portail en ligne, mais qui offre également la plus grande source d’informations sur la gestion en langue arabe”, a ajouté Kadi.