Mon corps, mon choix”, “Oui, j’ai des relations sexuelles et j’ai déjà avorté”, “Innocence pour le docteur Belkziz”, “Liberté pour Hajar et les autres prévenus”… Ce sont sous ces slogans brandis sur des pancartes, bâches et t-shirts, que plusieurs acteurs de la société civile ont relevé la tête après le coup de massue subi la veille. Le 2 octobre, au surlendemain des…