Il faut changer les lois, ce n’est plus possible !” s’indigne Neila Tazi, membre de la Chambre des conseillers. “Je trouve que c’est inadmissible de faire de la prison pour ce type de question. L’affaire Hajar Raissouni est une affaire éprouvante pour l’ensemble de la société marocaine”, nous confie la présidente du groupe de communication A3.
Elle ajoute : “Il est indispensable que les parlementaires se mobilisent pour changer cette loi sur l’avortement. Cette question relève à mon sens de la sphère privée, donc la loi doit changer !”