Il nous faudrait deux vies, dans ce lieu de misère. La seconde apportant les fruits / De la sagesse apprise au long de la première”, dit le poète, cité par Mirzâ Yadollâh à Mashti Shahbâz. Deux vieillards se souviennent d’une épouse qui les a abandonnés. “Pour tous deux, décidément, les orages de la passion étaient loin. Ils avaient atteint l’âge où l’on pense à la mort.” Tous les…