Lundi 7 janvier, au matin. Tous nos coups de fil vers le Gabon, indicatif +241, se soldent par un échec. Bip-bip-bip, et puis plus rien. Les journalistes sur place n’ont pas tweeté depuis des heures. Internet a été coupé, Radio Gabon forcée au silence. À l’aube, des militaires gabonais, flanqués de bérets verts, fusil…