Sur la devanture d’un nouveau salon de coiffure du quartier Oulfa, des photos de coupes afro sont exposées. “C’est pour attirer les clients subsahariens”, commente Mariam, installée au premier étage. En attendant ses clientes, la coiffeuse ivoirienne fait sautiller sur ses genoux sa fille de six mois aux grands yeux noirs. “Elle s’appelle Amina. Enfin, je l’appelle…
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