« Cela ne se joue pas seulement sur les stades, les hôtels et tout cela. Ce qui importe aussi, c’est la perception de l’Amérique dans une période difficile pour notre monde », a expliqué Gulati, selon des propos rapportés par la chaîne de télévision ESPN.
« Il y a des choses qu’on peut contrôler, mais on ne peut pas contrôler ce qui se passe en Corée, ce qui se passe avec l’ambassade des Etats-Unis en Israël, ce qui se passe en matière de lutte contre le réchauffement climatique« , a-t-il poursuivi, en référence à des décisions ou déclarations controversées de Trump depuis son élection.
« Il faut qu’on se bouge pour convaincre à la fin du processus 104 personnes de voter pour nous », a exhorté le président de la Fédération américaine qui va quitter son poste en février, mais qui restera président du comité de candidature.
Les Etats-Unis ont monté un dossier de candidature commun avec le Mexique et le Canada et font figure de grands favoris. Un seul autre pays, le Maroc, est sur les rangs.
Le pays hôte doit être désigné en juin 2018, à l’orée du Mondial en Russie, pour la première fois par l’ensemble des plus de 200 fédérations composant la Fifa et non par un conseil restreint.
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