Ces élections législatives surviennent en plein marasme économique, le pays riche en or noir traversant une grave crise financière en raison de la chute de ses revenus pétroliers.
La campagne électorale a été peu suivie par les Algériens qui semblent se passionner davantage pour celle de la présidentielle en France, sur l’autre rive de la Méditerranée.
Aucune surprise n’est en effet attendue lors de ce scrutin, alors que le Front de libération nationale (FLN) règne en maître absolu sur la vie politique depuis l’indépendance de l’Algérie en 1962.
Les élections législatives mobilisent en général peu les électeurs avec des taux de participation de seulement 43,14% en 2012 et de 35,65% en 2007, des chiffres déjà gonflés selon des observateurs.
Soucieux d’atteindre un chiffre plus important cette année, le pouvoir s’est mobilisé pour tenter de convaincre les électeurs d’aller voter.
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