Dans tout Marrakech, et en particulier aux abords du site de la COP22 situé à Bib Ighli, les ronds-points sont ornés d’un monticule sur lequel est inscrit « COP22 ». À chaque intersection, on note également la présence des forces de l’ordre.
Avant de pénétrer dans la zone bleue, placée sous l’administration des Nations unies, les 20 000 participants accrédités sont accueillis par les 197 pavillons des 197 États membres de l’Organisation.
Les participants passent par une zone de contrôle digne des plus grands aéroports internationaux avant de pénétrer sur le site.
Les participants circulent entre les différentes zones du village en empruntant cette allée de 700 mètres de long recouverte d’une canopée. De temps à autre, des attroupements se forment à l’arrivée d’une personnalité, mais certaines se retrouvent extrêmement accessibles, sans dispositif de sécurité particulier.
Au sein du site, la sécurité est assurée le personnel, armé, des Nations unies. Ici, l’un d’entre eux empêche d’approcher le ministre de l’Intérieur Mohamed Hassad et Abdelatif Hammouchi, directeur de la Direction générale de la sûreté nationale (DGST).
Les participants du monde entier offrent une diversité d’habillements et des contrastes saisissants.
Ces bâtiments abritent un espace réservé à la restauration, pris d’assaut à l’heure du déjeuner. Difficile de trouver un repas pour moins de 200 dirhams. Comptez 20 dirhams pour un café.
L’espace réservé aux médias. 3 000 journalistes marocains et étrangers sont accrédités pour l’événement.
C’est dans cette salle, décorée d’une immense porte en bois, que se réunissent les négociateurs du monde entier pour les assemblées plénières.
À l’intérieur du pavillon marocain, un espace de réception et de conférence, avec des murs sur lesquels sont projetées des images évoquant l’environnement.
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