Le ministère de la Santé entame en juillet sa deuxième étude bio-comportementale auprès des professionnels du sexe, d’après l’édition du Matin du 29 juin. Le but : collecter suffisamment de données pour estimer la prévalence du VIH et de la syphilis dans cette population et ainsi orienter les programmes, notamment de prévention. L’enquête doit également permettre de mieux identifier les comportements à risque et d’évaluer l’accès aux préservatifs et au dépistage. Cette enquête, qui devrait prendre fin en décembre 2016, est soutenue par l’agence onusienne Onusida.
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