« Leïla Alaoui est morte en défendant les valeurs qui nous tiennent à cœur. Elle a consacré son travail à la création, à l’art et aux droits humains », estime Amine Kabbaj, président de la Biennale d’art de Marrakech. L’édition 2016 est donc dédiée à la mémoire de l’artiste. Les organisateurs ont alors choisi de mettre au cœur des projets parallèles de la biennale son exposition « L’Ile du diable ». Cette oeuvre vidéo rend hommage aux travailleurs maghrébins de l’ancienne usine Renault située sur l’île Seguin de Billancourt, à Paris. L’expo se tiendra à L’Blassa, où sont accueillis tous les projets parallèles de l’événement.
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