Lors d’une conférence à la bibliothèque nationale à Rabat qui s’est tenue le 3 décembre, placée sous le thème « Citoyenneté, contribution et proximité », l’intellectuel marocain Abdellah Laroui a affirmé que « les personnes qui participent à la cérémonie de la beyâa sont des valets et non des citoyens qui peuvent contribuer à l’essor du Maroc ». Il a ajouté que ces personnes ne peuvent pas « être des leaders mais sont déjà en dehors du principe de citoyenneté ».
Selon Laroui, « la citoyenneté ne se marie pas avec la servitude, la traîtrise et le mensonge ». Un citoyen est une personne « libre et qui apporte sa participation politique sans attendre que l’État fasse le travail à sa place ».
Tiens! On va devoir demander une redéfinition du vocable « citoyen ». Tous ce beau monde qui se targuait jusqu’à présent de sa citoyenneté…hé bé …ça alors…
Il paraît que le pain a levé et que…finir en beauté n’est pas à la portée de tout le monde…
Quand la notoriété leur monte à la tête, il n’y a plus qu’à croiser les bras et retenir son souffle: en général, le vide qui les guette, se montre et déclenche son tourbillon infernal pour les happer .Après quoi,à peine quelques individus pourront se souvenir de leur langue trop pendue et raconter leur histoire à voix basse sur un temps de confidence:il était une fois un pov’con qui ,à force de côtoyer la rivière, se crut le cousin des grenouilles….