"Les femmes marocaines sont les vrais hommes de la société"

Dans un extrait du film Des murs et des hommes de Dalila Ennadre, un habitant de la médina de Casablanca livre un témoignage touchant sur la femme au Maroc et ses responsabilités au sein de la société.

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Lors du dernier épisode de l’émission de documentaires Des histoires et des hommes, diffusée le dimanche 5 octobre sur la chaîne nationale de 2M, un habitant de la médina de Casablanca livre un témoignage poignant sur la vie dans cette partie de la ville. « Les femmes vivent dans la souffrance, elles gardent tout pour elle et se taisent« , raconte le Casablancais. « Le matin, quand je reviens du travail, je ne croise que des femmes qui vont au travail, les hommes ne travaillent pas« , déplore-t-il.

L’habitant évoque aussi son attachement à la médina de Casablanca avec beaucoup de poésie. « L’ancienne médina c’est toute ma vie. J’y suis né… et j’ai peur d’y mourir« . Le témoignage de ce citoyen, ponctué d’émotion, bifurque sur d’autres sujets. Le Casablancais parle à la caméra d’amour, du manque d’espoir et d’ambition qui règne et des conditions de vie qui font de lui un homme blasé : « Il n’y a plus rien qui se passe dans ma tête, je ne pense plus à rien, parce qu’aucun de mes objectifs ne se réalise« .

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    1. En tant que citoyen, nous sommes maître du changement, blamer à chaque seconde les dissidents, alors que c’est nous les vrais acteurs du changement ne résout en aucun le problème. En chialant, tu as fait un bon bout du chemin, reconnaître l’ampleur du problème. L’étape qui suit est encore plus difficile, c’est de créer le changement. Je ne doute en aucun cas de tes capacités intellectuelles et surtout ne prend pas ce message à titre personnel ni comme une attaque à ta personne mais je parle à l’esprit du peuple et à l’esprit du temps marocain actuel « attentisme ». Les marocains sont très courageux mais uniquement lorsque ca touche leur personne mais dès lors que ca concerne les autres wayliiiiiii!! Ara ma t9ol.

      1. L’Humain est vraiment impressionnant, il fait parler les Mots et leur faire
        dire ce qu’il veut, mais est-il capable de se mettre dans la peau des autres ?
        Et bain Non cela mitonnerais énormément, ce convertir et se mettre dans la même situation d’un compatriote ?
        Et bain Non, la relativité de l’héroïsme veut que non soyons des grandes gueule,
        ni moins, ni plus, son avoir le courage de s’assume et d’assumer nous faits et
        acte, c’est pour cela que presque, tous le mondes peu se réclamer philosophe, est
        faire parler les mots, tien par exemple : Arnaud Desjardins à présumer que
        « Le bonheur, on ne le trouve pas, on le fait. Le bonheur ne dépend
        pas de ce qui nous manque, mais de la façon dont nous nous servons de ce que
        nous possédons » on voit bien qu’il n’a jamais vécu dans une maison,
        ou dans un milieu, ou quatre ou Cinque de ces frères, avec un doctorat, métrise,
        et diplôme, et ils attendent a tour de rôle le retour de leurs mère, qui pour éviter
        de les blesses, leurs dépose sur la table qui avait été occasionnellement transformer
        en bureau collectif, 20dh, 30dh, ou 50dh, quand la chance leur a sourie, et que
        la soldate engager reviens du front qui lui a été ouvert au devant des Fournaux
        d’une fête de mariage, une fête de concession,
        ou un Dèce, malheur pour ceux qui ont perdu leurs être chère, mais un bonheur
        pour cette soldate qui va combler un besoin, pour ceux dont elle avait espère
        un soutien matérielle, puisque laissez moi vous dire, s’ils y’a une personne qui doute que nous nous sommes
        tous, qu’en veuille l’admettre au non, tous des Projets ; que nos géniteurs mettent sur pieds avec son plans
        d’affaire a l’appui au moment même de notre conception ; pour tout vous dire Mr Gandhi lui au moins, me semble a côtoyer le même milieu et la même situation que cette
        soldate et ses fantassin, puisqu’il lui a dis « Vis comme si tu devais
        mourir demain… Apprends comme si tu devais vivre toujours. » Preuve
        que les temps change, les valeurs aussi, Monsieur Albert Einstein quand
        il a fait parler les mots, il a presque pas eu tord en disant que « La vie c’est comme la bicyclette:
        il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre » sauf que la volonté toute
        seul ne sufi pas de nous jours, il faut avoir les moyens de se payer cette
        fameuse bicyclette, qui grasse a elle, l’être de nous serais capable de se projeter
        verre lavant, je serais grés a celle ou a celui, qui me dira pour quoi dans le système
        de l’éducation, il y’a celui a deux vitesse, le prive subventionner, et celui
        publique au point mort qui serre de champs d’expériences, pour toutes et chaque
        un qui veux marquer des point politique, ce permet de tester ces caprices, svp
        quel qu’ un veut bien leurs poser les bonne questions, est-ce que vous
        enfant fréquentent les même institutions, sujet a vous expériences, bien sur qu’il
        vont dire que non, et que cette question et celle d’un jaloux des gens qui
        peuvent ce permettre de garde l’équilibre sur la fameuse bicyclette pour avancer, mais le malheur c’est que « La Vie en
        elle-même est une toile vide. Elle devient ce que vous peignez dessus. Vous
        pouvez peindre la misère ou vous pouvez peindre la joie. Cette liberté est
        votre splendeur ». C’est une foutaise encore une autre fois de Osho, qui
        confond vouloir et pouvoir, il faut savoir que si l’on comprend que la démocratie
        et synonyme de libre échange, alors les lectures que feront les future générations
        de notre monde seront assez rapprocher de nos réalité que nous vivons car notre
        peur existe quand nous désirons vivre
        dans un modèle particulier, vivre sans peur signifie, vivre sans aucun modèle
        particulier. La peur surgit quand nous exigeons une façon de vivre particulière,
        mais aussi acceptez la vie comme elle vient, n’est surement pas la voie la
        plus sûre pour découvrir, la vérité est de ne plus résister à ce qui se
        présente ; Depuis les temps anciens, les maîtres spirituels de toutes
        traditions ont indiqué, le Maintenant, comme la clé de la dimension spirituelle ;
        Quand les jours sont ainsi semblables les uns aux autres, c’est que les gens
        ont cessé de s’apercevoir des bonnes choses qui se présentent dans leur vie… Accomplissez
        toutes vos actions sans une raison. La vie se vit pour elle-même et pour aucune
        autre raison.

  • La plupart des femmes dont parle ce jeune homme brave et digne malgré la souffrance travaillent pour le compte d’autres femmes comme bonnes à tout faire.

    Au final, la femme riche exploite la femme pauvre et la féministe pseudo-intello bobo reste la copine sympa de la femme riche et méprise la femme pauvre.

    Les braves femmes souffrent en silence et les pseudo-féministes qui ne servent à rien discutent tranquillement dans les salons de la nécessité de l’application de la laïcité et du libertarianisme car considérés par elles comme les seuls remèdes à l’amélioration de leur condition de vie.

  • L’Humain est vraiment impressionnant, il fait parler les Mots et leur faire
    dire ce qu’il veut, mais est-il capable de se mettre dans la peau des autres ?
    Et bain Non cela mitonnerais énormément, ce convertir et se mettre dans la même situation d’un compatriote ?
    Et bain Non, la relativité de l’héroïsme veut que non soyons des grandes gueule,
    ni moins, ni plus, son avoir le courage de s’assume et d’assumer nous faits et
    acte, c’est pour cela que presque, tous le mondes peu se réclamer philosophe, est
    faire parler les mots, tien par exemple : Arnaud Desjardins à présumer que
    « Le bonheur, on ne le trouve pas, on le fait. Le bonheur ne dépend
    pas de ce qui nous manque, mais de la façon dont nous nous servons de ce que
    nous possédons » on voit bien qu’il n’a jamais vécu dans une maison,
    ou dans un milieu, ou quatre ou Cinque de ces frères, avec un doctorat, métrise,
    et diplôme, et ils attendent a tour de rôle le retour de leurs mère, qui pour éviter
    de les blesses, leurs dépose sur la table qui avait été occasionnellement transformer
    en bureau collectif, 20dh, 30dh, ou 50dh, quand la chance leur a sourie, et que
    la soldate engager reviens du front qui lui a été ouvert au devant des Fournaux
    d’une fête de mariage, une fête de concession,
    ou un Dèce, malheur pour ceux qui ont perdu leurs être chère, mais un bonheur
    pour cette soldate qui va combler un besoin, pour ceux dont elle avait espère
    un soutien matérielle, puisque laissez moi vous dire, s’ils y’a une personne qui doute que nous nous sommes
    tous, qu’en veuille l’admettre au non, tous des Projets ; que nos géniteurs mettent sur pieds avec son plans
    d’affaire a l’appui au moment même de notre conception ; pour tout vous dire Mr Gandhi lui au moins, me semble a côtoyer le même milieu et la même situation que cette
    soldate et ses fantassin, puisqu’il lui a dis « Vis comme si tu devais
    mourir demain… Apprends comme si tu devais vivre toujours. » Preuve
    que les temps change, les valeurs aussi, Monsieur Albert Einstein quand
    il a fait parler les mots, il a presque pas eu tord en disant que « La vie c’est comme la bicyclette:
    il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre » sauf que la volonté toute
    seul ne sufi pas de nous jours, il faut avoir les moyens de se payer cette
    fameuse bicyclette, qui grasse a elle, l’être de nous serais capable de se projeter
    verre lavant, je serais grés a celle ou a celui, qui me dira pour quoi dans le système
    de l’éducation, il y’a celui a deux vitesse, le prive subventionner, et celui
    publique au point mort qui serre de champs d’expériences, pour toutes et chaque
    un qui veux marquer des point politique, ce permet de tester ces caprices, svp
    quel qu’ un veut bien leurs poser les bonne questions, est-ce que vous
    enfant fréquentent les même institutions, sujet a vous expériences, bien sur qu’il
    vont dire que non, et que cette question et celle d’un jaloux des gens qui
    peuvent ce permettre de garde l’équilibre sur la fameuse bicyclette pour avancer, mais le malheur c’est que « La Vie en
    elle-même est une toile vide. Elle devient ce que vous peignez dessus. Vous
    pouvez peindre la misère ou vous pouvez peindre la joie. Cette liberté est
    votre splendeur ». C’est une foutaise encore une autre fois de Osho, qui
    confond vouloir et pouvoir, il faut savoir que si l’on comprend que la démocratie
    et synonyme de libre échange, alors les lectures que feront les future générations
    de notre monde seront assez rapprocher de nos réalité que nous vivons car notre
    peur existe quand nous désirons vivre
    dans un modèle particulier, vivre sans peur signifie, vivre sans aucun modèle
    particulier. La peur surgit quand nous exigeons une façon de vivre particulière,
    mais aussi acceptez la vie comme elle vient, n’est surement pas la voie la
    plus sûre pour découvrir, la vérité est de ne plus résister à ce qui se
    présente ; Depuis les temps anciens, les maîtres spirituels de toutes
    traditions ont indiqué, le Maintenant, comme la clé de la dimension spirituelle ;
    Quand les jours sont ainsi semblables les uns aux autres, c’est que les gens
    ont cessé de s’apercevoir des bonnes choses qui se présentent dans leur vie… Accomplissez
    toutes vos actions sans une raison. La vie se vit pour elle-même et pour aucune
    autre raison.

  • La phrase choc ! C’est flatteur pour les femmes mais loin d’être l’unique et seule vérité. Une femme ne serait jamais un homme et vice versa du moment qu’elles non ni le même cortex ni le même hippocampe ! L’égalité est dans la particularité Bienvenue dans l’ère des minorités

  • C’est malheureux! Ces hommes marocains sont devenus wallou faineant! dans certains foyers l’homme ne sert qu’a deux choses : Faire un don de spermatozoide de temps à autre et faire chier les habitants du dit foye ( à commencer par la femme) ! pffff

  • il y a des éléments dans les paroles de cet homme, dans sa simplicité mais aussi son acuité qui me touchent et me font me poser des questions sur l’avenir de notre société.
    « 7 paraboles, une télé, un canapé » il vient de résumer le quotidien ou les soirées de bon nombres de nos compatriotes.
    Les hommes politiques ne décrivent pas cette réalité.Nos intellectuels ne parlent pas de cette réalité.notre clergé ne parle pas de cette réalité…Mais il est si rare d’entendre un marocain parler de sentiment aussi simple mais aussi complexe que l’amour.
    Ou va t on ? que est notre projet de société ? quel place pour les femmes et les jeunes dans notre pays? tant de question et si peu de réponse. Ce qui m’a le plus manqué au Maroc c’était … de lire juste de lire. en france j’ai découvert une bibliothèque..La, tapis dan les recoins de la salle ,des livres sur ma culture, mon histoire, ma religion auquel je n’ai jamais eu accès au Maroc. Doit on quitter son pays pour apprendre à l’aimer ?

    Je prie pour mon peuple et ma nation. Pour une société harmonieuse et apaisé.