Retour sur un dossier de l’édition TelQuel n°124 du 24 au 30 avril 2004.
De gauche à droite, de haut en bas : Mohamed Kabbaj, Abdelhadi Boutaleb, Abdellatif Jouahri, Mohamed Karim-Lamrani, Allal El Fassi, Mohamed Guessous, Saâd Kettani, Mohamed Berrada et Othman Benjelloun.
L’un des rares spécialistes à avoir décortiqué le système sociopolitique marocain, John Waterbury, définit les Fassis comme “le modèle de l’élite urbaine, qui a conservé ses traditions, ses alliances et ses acquis, même quand elle a changé de ville (Casablanca dans un premier temps et la diaspora plus tard, ndlr)”. La clé de cette longévité ? D’abord le melting pot de départ, où, selon Roger Le Tourneau, “l’Arabe a apporté sa noblesse, l’Andalou son raffinement, le Kairouanais…
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