Casablanca a accueilli, en fin de semaine dernière, une session du débat national pour la réforme de la justice, dédiée à la relation médias-système judiciaire. A retenir, cet échange entre Taoufiq Bouachrine, directeur d’Akhbar Al Yaoum, et un magistrat. “Nous souhaitons que les juges se comportent en tant que tels et non en tant que partie prenante dans les affaires de presse”, a affirmé Bouachrine. “Parce que nous ne sommes pas d’accord avec vous, vous nous accusez, dans vos journaux, de corruption et de manipulation. C’est de la dictature intellectuelle”, lui a rétorqué le magistrat.
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