Censé apporter des réponses à la crise, Nizar Baraka a finalement accouché d’une Loi de Finances qui l’ignore. Optimiste dans ses prévisions de croissance et de déficit budgétaire, le ministre a également été critiqué à cause des nouvelles mesures fiscales visant les hauts revenus et les bénéfices des entreprises, qualifiées de “populistes” par la communauté des affaires.
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