C’est une affaire qui fait trembler plusieurs universités du pays. Des milices d’étudiants amazighs se seraient organisées dans le cadre d’un “tribunal populaire amazigh” pour attaquer les étudiants appartenant à d’autres courants politiques qui s’activent sur les campus. Faux, répond le ministre de l’Intérieur, qui nie l’existence d’une telle organisation mais reconnaît qu’un étudiant basiste a bel et bien été agressé (ses bras et ses jambes ont presque été mutilés) dans la faculté des sciences de Marrakech.
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