Six militants du Mouvement du 20 février accusent des agents de police à Casablanca de torture et de viol. Cela se serait passé lors de leur garde à vue du 22 au 25 juillet dernier dans l’arrondissement de Sidi Bernoussi. Arrêtés suite à une manifestation pacifique, ils ont été transférés au commissariat où des policiers auraient utilisé des objets pour les violer. “Nous exposerons les preuves en notre possession lors de l’audience du 7 septembre. Si le juge ne prend pas en compte les accusations de torture, nous porterons plainte et demanderons à être confrontés aux policiers concernés”, affirme Omar Bendjelloun, avocat au barreau de Rabat.
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