Séance mouvementée à la Chambre des conseillers le mardi 5 juin. Les élus recevaient pourtant un invité de marque : Abdelilah Benkirane, qui devait notamment s’expliquer sur les récentes hausses décidées pour les prix du carburant à la pompe. Mais la séance n’a finalement pas pu avoir lieu. L’opposition, majoritaire au sein de la deuxième chambre, a en effet exigé 70% de temps de parole contre seulement 30% pour le Chef du gouvernement. Inacceptable pour Abdelilah Benkirane, qui a expressément demandé à Mohamed Cheikh Biadillah, président de la Chambre des conseillers, de lever la séance devant la protestation énergique et bruyante des élus.
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