La nouvelle a pris de court le microcosme médiatique national. Jeudi 10 mai, le roi a nommé Amina Lemrini et Jamal Eddine Naji respectivement présidente et directeur général de la HACA. “L’Etat avait besoin d’un fusible à faire sauter. On a reproché à l’ancien président, Ahmed Ghazali, son approbation rapide des cahiers des charges, sans qu’aucune faille juridique n’ait été constatée”, explique un observateur. Autre point à relever : les deux nouveaux patrons de l’instance de régulation de l’audiovisuel sont des gauchistes convaincus qui risquent de mener la vie dure au gouvernement Benkirane.
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