Les activistes de la capitale s’unissent contre la répression policière. Mercredi 13 mars, plusieurs associations, syndicalistes et militants du Mouvement du 20 février se sont donné rendez-vous au centre-ville de Rabat pour protester, ensemble, contre “l’usage systématique et excessif” de la violence pour la dispersion de leurs manifestations. Beaucoup n’ont pas hésité à en faire porter la responsabilité au Chef du gouvernement, Abdelilah Benkirane.
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