250 marins travaillant sur les navires de la Comanav-Comarit vivent un véritable cauchemar, depuis la saisie de leurs paquebots par les autorités des ports de Sète et d’Algésiras il y a plus d’un mois. “Nos collègues à Sète manquent de nourriture et de gasoil pour faire marcher l’électricité et le chauffage. Grâce aux médias locaux, ils reçoivent des aides des habitants de la ville et de l’église locale”, rapporte cet officier au sein de la compagnie.
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