Près de 200 combattants du Conseil national de transition (CNT) libyen sont actuellement soignés à l’hôpital militaire de Rabat. Originaires en grande partie de la ville de Misrata, les blessés libyens sont étroitement surveillés par des éléments du renseignement militaire des FAR.
Les gares ferroviaires ont été placées sous haute surveillance avant et après l’Aid. D’importants renforts policiers ont été déployés autour des gares des grandes villes pour parer à tout dérapage. Pire, à Tanger, les guichetiers de l’ONCF réclamaient leur CIN aux voyageurs désirant acheter un ticket
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