La compagnie maritime tangéroise n’est pas près de voir le bout du tunnel. Les bateaux de la Comarit, soumis à une saisie conservatoire aux ports de Sète et d’Algésiras, sont toujours interdits de lever l’ancre et risquent même d’être vendus aux enchères. “Nous sommes toujours en négociation avec les banques et les sociétés créancières pour débloquer la situation”, indique le patron de la société, Samir Abdelmoula. La compagnie traîne près de 3 millions d’euros d’arriérés.
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