Prévue le 13 janvier au tribunal militaire de Rabat, l’ouverture du procès des Sahraouis poursuivis dans le cadre de l’affaire Gdeim Izik a été reportée sine die. Pour leur avocat Leili Mohamed Fadel, ce report est illégal, car “décidé par le Parquet et non par le juge”. De lourds chefs d’accusation, comme le meurtre avec préméditation d’agents d’autorité, pèsent sur les 23 personnes arrêtées au lendemain du démantèlement du camp sahraoui. Ils risquent jusqu’à la peine capitale.
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