Les acteurs culturels marocains n’en peuvent plus. C’est pour cela qu’ils font actuellement circuler une pétition sur Internet pour appeler à un audit structurel et financier du Bureau marocain des droits d’auteur. Parmi eux Oum, Momo Merhari ou encore Adel Essaadani. Ils lui reprochent son mode opaque de fonctionnement, et le fait qu’il ne distribue pas de royalties, alors que les radios et TV versent chaque année au BMDA des sommes considérables.
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