Ce soutien inclut notamment un prêt de 200 millions d’euros au Groupe OCP pour le développement de deux nouvelles usines de dessalement, précise le communiqué. Cette initiative renforce ainsi la sécurité hydrique au Maroc et appuie l’objectif du Groupe OCP d’éliminer l’utilisation de l’eau douce dans la production industrielle d’ici 2030, ajoute la même source.
Au niveau des pays de la région Méditerranée méridionale et orientale, l’Égypte a reçu le plus grand volume d’investissements avec plus de 1,4 milliard d’euros, représentant 26 des 50 nouveaux projets de la BERD dans la région.
En Jordanie, la BERD a investi 169 millions d’euros dans quatre projets. Une grande partie de ce financement, 72%, a été dirigée vers le secteur privé, y compris le tourisme et l’infrastructure durable.
La Tunisie a bénéficié de 247 millions d’euros répartis sur 11 projets, tous dans le secteur privé. Cela comprend le soutien au secteur de l’énergie renouvelable avec des projets de centrales solaires à Sidi Bouzid et Tozeur et des prêts pour le développement de 20 MW de projets d’énergie renouvelable sous un nouveau cadre réglementaire.
Le Liban a vu des investissements axés principalement sur le soutien aux petites entreprises et à l’importation/exportation de biens critiques, avec un chiffre d’affaires de plus de 20 millions d’euros. En Cisjordanie et à Gaza, la BERD a investi 67 millions d’euros, avec un accent sur le développement des petites entreprises et le premier investissement en actions dans la région.