Depuis son élection comme membre non permanent l’année dernière, l’Algérie entend mettre cette présidence à profit pour avancer les intérêts des nations arabes et africaines, rapporte la chaîne algérienne ALG24 news.
Toutefois, pour le moment, la question du Sahara n’est pas inscrite à l’ordre du jour du Conseil.
Ce mandat mettra plutôt l’accent sur des problématiques telles que la situation au Moyen-Orient, notamment la Palestine, et la lutte contre le terrorisme en Afrique, rapporte la même source.