Cette évolution recouvre un recul des ventes de l’énergie de “très haute, haute et moyenne tension, hors distributeurs” de 7,9%, de celles destinées aux ménages de 3,2% et de celles destinées aux distributeurs de 1,9%, après des hausses respectives de 4,1%, 3,5% et 1,9% un an auparavant, précise la DEPF dans sa récente note de conjoncture.
Concernant la production de l’énergie électrique, au niveau national, elle s’est améliorée de 2,2% à fin octobre dernier, après une hausse de 1,7% un an plus tôt, faisant suite au renforcement de la production des énergies renouvelables relatives à la loi 13-09 (+31,7%), tandis que la production privée d’électricité et celle de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE) ont quasiment stagné.
Dans un contexte de consolidation de l’énergie appelée nette (+3,6% à fin octobre 2024), le volume importé de l’énergie électrique s’est accru de 32,2%, après une hausse de 21,2% un an auparavant.
S’agissant du volume exporté, il a régressé de 32,8%, après un retrait de 15,6% un an passé.
(avec MAP)