L’affaire remonte à quatorze ans plus tôt et implique six autres personnes, accusées avec El Hamidi de malversation de fonds publics, de falsification de documents officiels, et d’abus de pouvoir. Parmi eux, trois ont été condamnés à un an de prison ferme, alors que les trois autres ont été acquittés.
Répondant à la décision judiciaire, Mohamed El Hamidi a exprimé son intention de faire appel du jugement, insistant sur sa conviction d’innocence et sa confiance dans le système judiciaire pour clarifier sa position, rapporte Hespress.