Le PJD a accueilli avec “une grande satisfaction” le mandat d’arrêt, estimant qu’il confirme qu’Israël est une “entité occupante, usurpatrice et barbare”. Le communiqué du parti rappelle que la CPI avait “des raisons raisonnables de croire qu’ils (Netanyahu et Gallant, ndlr) ont commis des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité dans la bande de Gaza”.
Le parti appelle à “rompre toute relation et annuler tous les accords” avec Israël, considérant cette décision comme “une victoire de la justice pénale internationale” qui démontre que la résistance palestinienne a “brisé toutes les immunités” dont bénéficiait l’État israélien.
De son côté, le PPS a pris connaissance de la décision “avec un grand soulagement”, appelant “toutes les nations, institutions et consciences actives” à soutenir cette décision. Le parti demande à la communauté internationale de prendre ses responsabilités pour mettre en œuvre le mandat d’arrêt.
Pour cela, le PPS préconise des mesures concrètes, telles que “geler l’adhésion de l’entité sioniste aux Nations unies, imposer des sanctions sévères, stopper tout soutien militaire, médiatique et financier, et adopter un boycott commercial et économique”.