Selon le communiqué, la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR), sous prétexte de soutien et de suivi, se serait engagée dans la collecte d’informations de sécurité plutôt que d’offrir un véritable appui humanitaire et social.
La Coordination souligne que les promesses répétées de soutien financier et social par l’institution ne se sont jamais concrétisées, laissant place à des programmes inexistants. Ils dénoncent cette pratique comme une forme de désinformation qui dessert les intérêts des anciens détenus au profit d’agendas plus restrictifs.
La Coordination déplore ainsi la procrastination de l’institution dans la réalisation des engagements pris, ajoutant une pression inutile sur les anciens détenus sans prendre en compte leur situation sociale réelle.
Pour remédier à cette situation, ils appellent à un soutien actif et réel, en coopération avec des entités de droits humains indépendantes, pour assurer et faciliter la réinsertion des anciens détenus.