Nous plaçons la barre très haut dans de nombreux domaines : l’énergie, l’industrie, les mobilités et les migrations, la culture”, affirme le chef de la diplomatie française dans les colonnes du journal.
Concernant les tensions passées, notamment sur la question des visas, le ministre reconnaît des erreurs. “Sur le volet des mobilités et des migrations, il faut tirer les leçons des erreurs du passé”, déclare-t-il à La Tribune Dimanche, avant d’ajouter qu’“il faut aborder cette question dans le cadre d’un partenariat durable et d’un dialogue global”.
“L’enrichissement de notre relation avec le Maroc ne vient en aucun cas appauvrir celle que nous cultivons avec l’Algérie”
La Tribune Dimanche souligne que cette visite sera également l’occasion de signer d’importants contrats. À ce sujet, Jean-Noël Barrot indique que “le président de la République aura l’occasion sur place d’annoncer l’ouverture d’un certain nombre de coopérations qui s’appuieront sur les complémentarités entre la France et le Maroc”.
Interrogé sur un possible choix entre le Maroc et l’Algérie, le ministre est catégorique : “L’enrichissement de notre relation avec le Maroc ne vient en aucun cas appauvrir celle que nous cultivons avec l’Algérie”, assure-t-il dans les colonnes du journal français, précisant que la France entretient “avec chacun des pays du Maghreb une relation spécifique”.