Khalid Samadi a précisé que durant son mandat, cette réduction de la durée de formation n’avait jamais été finalisée ni formellement discutée avec les étudiants. Il a souligné l’efficacité des dialogues menés en 2019, grâce à la coopération de toutes les parties impliquées, pour résoudre les crises sans avoir recours à une telle mesure.
Il a également mis en lumière la responsabilité du ministère actuel de trouver des solutions durables à la crise prolongée dans les facultés de médecine, exacerbée par les tentatives de réforme du système éducatif médical. Samadi a critiqué la gestion actuelle de la crise, indiquant qu’une partie significative des étudiants continuait de boycotter les examens.
Le ministre Abdellatif Miraoui, lors d’une session plénière, a réitéré que la réduction à six ans de la formation ne compromettrait pas la qualité de l’éducation et a comparé cette mesure à des pratiques similaires dans d’autres pays occidentaux. Il a également mentionné que des mesures disciplinaires avaient été prises contre les étudiants qui refusent de se conformer à la nouvelle structure, tout en donnant six mois aux bureaux étudiants pour se régulariser.