Celui-ci l’accuse de s’appuyer sur des “autorités supérieures” pour diriger le parti. El Mansouri a rejeté ces allégations, affirmant que ses déctracteurs “manquent de légitimité, n’ayant reçu aucun mandat électoral ni nomination royale”.
Elle a non sans ironie commenté que si par “autorités supérieures”, les critiques visent Dieu, elle accepte cette association en tant que croyante. Elle a également exprimé “son respect pour le roi, leader du pays, dont elle soutient les discours”. El Mansouri a également invité ceux qui insinuent d’autres influences à “clarifier leurs allusions”.
Aboulghali a, pour sa part, critiqué l’insertion de son cas personnel dans les dynamiques partisanes, attribuant le gel de son adhésion au bureau politique à un conflit commercial personnel, tandis que d’autres cadres du parti y voient une affaire de fraude.
El Mansouri a expliqué que le bureau politique avait unanimement décidé de suspendre Aboulghali, en référant son cas au comité national d’éthique, suite à des plaintes mettant en question sa moralité.