Selon Hespress, cette décision survient alors que les greffiers du Royaume sont engagés dans une grève nationale qui a débuté ce mardi 3 septembre et se poursuivra jusqu’au 5 septembre, affectant de nombreux tribunaux.
Malgré l’ouverture de discussions entre le ministre de la Justice, le chef du gouvernement et le ministre délégué chargé du budget pour examiner les revendications des greffiers, les syndicats ont maintenu leur mouvement de grève.
Pour la première fois, Ouahbi a recours aux retenues salariales, une mesure introduite sous le gouvernement de l’ancien chef du gouvernement Abdelilah Benkirane.
La mobilisation des greffiers se poursuit avec une nouvelle série de trois jours d’arrêt de travail, accompagnée d’une manifestation prévue à Rabat.